Tuesday, January 28, 2025

Être Renouvelés comme Enfants de l’Alliance : Le Chemin vers le Bonheur et une Vie Accomplie (Hébreux 10:1-10 ; Marc 3:31-35)

 

Chers frères et sœurs en Christ,

Les lectures d’aujourd’hui nous invitent au cœur de notre foi chrétienne, nous révélant le secret de la persévérance, d’une vie heureuse et d’une joie éternelle. C’est un appel à vivre comme des enfants de l’Alliance, cherchant avant tout la volonté de Dieu.

La question qui se pose à nous est la suivante : Sommes-nous prêts à aligner nos vies sur la volonté de Dieu, comme Christ l’a fait, même lorsque cela exige des sacrifices ? Aujourd’hui, puisons notre inspiration dans l’épître aux Hébreux et dans l’Évangile de Marc pour redécouvrir ce que signifie vivre comme de véritables enfants de l’Alliance.

L’Ombre de l’Ancienne Alliance (Hébreux 10:1-10)

L’auteur de la lettre aux Hébreux nous ouvre les yeux sur les limites de l’Ancienne Alliance, avec ses sacrifices répétés année après année. Ces sacrifices, bien qu’ils fussent une ombre de ce qui devait venir, ne pouvaient pas vraiment purifier le peuple de son péché ni le faire vivre en parfaite harmonie avec la volonté de Dieu. Pourtant, dans cette ombre, le plan éternel de Dieu se déployait déjà.

Puis vient le moment décisif : « Me voici, je suis venu pour faire ta volonté. » Ces paroles, prononcées par Jésus, résument tout ce qu’Il a pensé et fait. Dès le début, jusqu’à l’expérience de la Croix, ce fut : « Père, que ta volonté soit faite. » Il est devenu le sacrifice ultime, non par amour de la souffrance, mais par amour pour nous. Son obéissance a remplacé les sacrifices imparfaits de la Loi par une offrande parfaite et éternelle. Faire la volonté de Dieu est devenu son pain quotidien, la source de sa force et de sa mission.

Qu’est-ce que cela signifie pour nous ? Cela signifie que nous ne sommes plus liés par des rituels qui ne font qu’effleurer la surface de nos cœurs. Au contraire, nous sommes invités à une nouvelle manière de vivre, enracinée dans l’abandon à la volonté de Dieu, comme Christ nous en a donné l’exemple.

« Celui qui Fait la Volonté de Dieu est Ma Famille » (Marc 3:31-35)

Dans l’Évangile, nous voyons Jésus redéfinir ce que signifie Lui appartenir. Lorsque Sa famille vient Le chercher, Il dit quelque chose de radical : « Celui qui fait la volonté de Dieu, celui-là est mon frère, ma sœur, ma mère. » Ce n’est pas un rejet de Sa famille terrestre, mais une révélation du lien plus profond qui se forme par l’obéissance à Dieu. La Vierge Marie est un bel exemple de ce que Jésus dit ici. Sa parole : « Qu’il me soit fait selon ta parole », est une merveilleuse expression de ce que Jésus a enseigné.

Réfléchissez à cela, chers amis : Jésus nous invite dans Sa famille. Imaginez le privilège ! Tous les chrétiens forment cette grande famille de Dieu, quelles que soient leurs origines, leur milieu social ou culturel. Pourtant, cette invitation s’accompagne d’un défi : la volonté de Dieu doit primer sur tout, même sur nos relations les plus proches et nos désirs personnels.

Faire partie de la famille de Dieu signifie vivre dans une confiance et un abandon radicaux, en sachant que Ses plans sont bien plus grands que les nôtres. Cela signifie dire : « Seigneur, que ce ne soit pas ma volonté, mais la Tienne qui soit faite », même lorsque le chemin de la vie est difficile, même lorsque la croix semble trop lourde à porter.

Vivre comme des Enfants de l’Alliance

Vivre comme des enfants de l’Alliance, c’est vivre dans la liberté de ceux qui savent qu’ils sont aimés de Dieu. C’est une vie de persévérance et de joie, car nous ne cherchons plus à mériter l’amour de Dieu : il nous a déjà été donné à travers Christ. Mais cet amour nous appelle à répondre.

À quoi ressemble cette réponse en pratique ? C’est abandonner nos vies quotidiennement à Dieu. Chaque jour, nous devons renouveler notre « oui » à Dieu, en Lui faisant confiance, car Sa volonté conduit à la vie. C’est aussi un appel à affronter les défis de la vie avec foi et persévérance. Lorsque les épreuves surviennent, souvenez-vous de l’exemple de Christ. Il a enduré la croix parce qu’Il faisait confiance au plan du Père.

Enfin, c’est chercher la volonté de Dieu avant tout : Cela signifie ne pas demander : « Que veux-je ? », mais « Que veut Dieu pour moi ? » Cela signifie laisser Sa Parole façonner nos décisions, nos relations et nos priorités.

Le Secret d’une Vie Heureuse

Bien-aimés, le monde offre de nombreux raccourcis vers le bonheur, mais ce ne sont que des illusions. Malheureusement, beaucoup poursuivent cette illusion, au point de perdre de vue le véritable but de leur existence sur terre. La vraie joie vient du fait de savoir que nous faisons partie de la famille de Dieu, en vivant comme des enfants de l’Alliance. Le secret d’une vie heureuse ne se trouve pas dans le confort ou le succès, mais dans la paix qui découle de la marche selon la volonté de Dieu.

Saint Thomas d’Aquin, dont nous célébrons la fête aujourd’hui, est un bel exemple d’une vie qui a suivi l’appel de Jésus dans l’Évangile d’aujourd’hui. Regardons donc les saints, les martyrs et ceux qui nous ont précédés dans la foi. Ils ont trouvé leur force, non pas dans leurs propres capacités, mais dans leur profonde confiance en Dieu. Ils ont vécu comme des frères et sœurs de Christ, et leurs vies ont témoigné de la joie d’appartenir à la famille de Dieu.

Un Appel à l’Action

Aujourd’hui, Jésus regarde chacun de nous et dit : « Voici mon frère, ma sœur, ma mère. » Allons-nous entrer dans cette identité ? Allons-nous faire de Sa volonté le fondement de nos vies ?

Prions pour la grâce de dire, comme Jésus : « Me voici, Seigneur ; je viens faire Ta volonté. » Choisissons de vivre comme des enfants de l’Alliance, en faisant confiance au fait que les plans de Dieu pour nous sont bons, que Son amour pour nous est immuable et que Sa volonté nous conduit à la vie éternelle.

Puissions-nous persévérer dans la foi, enracinés en Christ, et trouver le bonheur qui découle de la vie en Sa famille. Amen.

 


Aligning with God’s Will : The Heart of Our Covenant Relationship (Hebrews 10:1-10. Marc 3:31-35).

Beloved brothers and sisters in Christ,

Today’s readings invite us into the heart of our Christian faith, revealing the secret to perseverance, a happy life, and eternal joy. It’s a call to live as children of the Covenant, seeking God’s will above all things.

The question before us is this: Are we ready to align our lives with God’s will, just as Christ did, even when it demands sacrifice? Today, let us draw inspiration from Hebrews and the Gospel of Mark to rediscover what it means to live as true children of the Covenant.

The Shadow of the Old Covenant (Hebrews 10:1-10)

The author of the letter to the Hebrews opens our eyes to the limitations of the Old Covenant, with its sacrifices repeated year after year. These sacrifices, though a shadow of what was to come, could not truly cleanse the people from their sin or make them live in perfect alignment with the Will of God. Yet, within this shadow, God’s eternal plan was already unfolding.

Then comes the turning point Here I am, I have come to do your will.” These words, spoken by Jesus, is a summary of all that He thought and did. From the very beginning, to the experience of the Cross it was: “Father, let your Will be done”.  He became the ultimate sacrifice, not because He loved suffering, but because He loved us. His obedience replaced the imperfect sacrifices of the Law with a perfect and eternal offering. Doing God’s Will became His daily bread, the source of His strength, of His mission.

What does this mean for us? It means that we are no longer bound by rituals that merely scratch the surface of our hearts. Instead, we are invited into a new way of life, one rooted in surrender to God’s will, just as Christ modeled.

 “Whoever Does the Will of God Is My Family” (Mark 3:31-35)

In the Gospel, we see Jesus redefine what it means to belong to Him. When His family comes looking for Him, He says something radical: “Whoever does the will of God is my brother and sister and mother.” This isn’t a rejection of His earthly family but a revelation of the deeper bond formed by obedience to God. Mother Mary stands as a beautiful example of what Jesus said here. Her word: “Let it be done to me according to your words”, is wonderful expression of what Jesus said.

Think about this, dear friends: Jesus is inviting us into His family. Imagine the privilege! All Christians form this great family of God, irrespective of their origins, social and cultural background.  Yet, this invitation comes with a challenge, God’s will must take precedence over everything, even over our closest relationships and personal desires.

Being part of God’s family means living in radical trust and surrender, knowing that His plans are far greater than ours. It means saying, “Lord, not my will, but Yours be done,” even when life’s road is rough, even when it feels like the cross is too heavy to bear.

Living as Children of the Covenant

To live as children of the Covenant is to live in the freedom of those who know they are loved by God. It is a life of perseverance and joy because we no longer strive to earn God’s love, it has already been poured out for us through Christ. But this love calls us to respond.

What does that response look like in practice? It’s about surrendering our lives daily to God. Each day, we should renew our “yes” to God, trusting that His will leads to life. It’s also a call to face life challenges with faith and perseverance When challenges come, remember Christ’s example. He endured the cross because He trusted the Father’s plan.

Finally, it’s about seeking God’s will above all: This means asking not, “What do I want?” but “What does God want for me?” It means allowing His Word to shape our decisions, relationships, and priorities.

The Secret to a Happy Life

Beloved, the world offers many shortcuts to happiness, but they are pure illusions. Unfortunately, many are pursuing this illusion, to the extent of losing sight of the real purpose of their existence on earth.  True joy comes from knowing we are part of God’s family, living as children of the Covenant. The secret to a happy life isn’t found in comfort or success but in the peace that comes from walking in God’s will.

St Thomas of Aquinas, whose feast we celebrate today is a good example of a life that followed Jesus’ call in today’s Gospel. So, let’s look to the saints, to the martyrs, and to those who have gone before us in faith. They found strength, not in their own abilities, but in their deep trust in God. They lived as brothers and sisters of Christ, and their lives bore witness to the joy of belonging to God’s family.

Our Call to Action

Today, Jesus is looking at each one of us and saying, “Here are my brother, my sister, my mother.” Will we step into this identity? Will we let His will become the foundation of our lives?

Let us pray for the grace to say, like Jesus, “Here I am, Lord; I come to do Your will.” Let us choose to live as children of the Covenant, trusting that God’s plans for us are good, His love for us is unchanging, and His will for us leads to eternal life.

May we persevere in faith, rooted in Christ, and find the happiness that comes from living as His family. Amen.

 

Monday, January 27, 2025

Le sang qui rachète et l’Esprit qui transforme : Un appel à vivre dans la grâce de Dieu, (Hébreux 9:15-28 & Marc 3:22-30).

 

Bien-aimés frères et sœurs en Christ,

Aujourd’hui, nous nous rassemblons pour méditer sur deux passages puissants de l’Écriture qui révèlent la profondeur de l’amour de Dieu, la puissance du sacrifice de Christ et l’urgence de notre réponse à Sa grâce. Ouvrons nos cœurs à la Parole de Dieu, car elle est vivante, active et plus tranchante qu’une épée à double tranchant (Hébreux 4:12). Laissons-nous inspirer, interpeller et transformer par la vérité de ces textes sacrés.

Hébreux 9:15-28 : L’Alliance éternelle scellée par le sang

Dans Hébreux 9, nous sommes rappelés de la suprématie du sacrifice de Christ. L’auteur nous dit que Jésus est le médiateur d’une nouvelle alliance, une alliance scellée non par le sang de boucs ou de veaux, mais par Son propre sang précieux. Sous l’ancienne alliance, les sacrifices devaient être répétés année après année, mais Christ S’est offert une fois pour toutes—un sacrifice parfait, complet et éternel. Son sang ne couvre pas seulement le péché ; il nous purifie, nous rachète et nous restaure dans une relation juste avec Dieu. Grâce à Christ, la relation brisée entre l’humanité et Dieu—à cause des péchés d’Adam et Ève et de leurs descendants—est maintenant pleinement rétablie.

Réfléchissez à cela, chers amis : Jésus n’est pas entré dans un sanctuaire fait de main d’homme pour offrir Sa vie. Non, Il est entré dans la présence même de Dieu au ciel, et là, Il intercède pour nous. Son sacrifice est si puissant, si suffisant, qu’il a ouvert le chemin pour nous permettre d’entrer dans la sainte présence de Dieu. Quel Sauveur ! Quel Rédempteur !

Mais l’auteur des Hébreux nous donne aussi un rappel solennel : « Et comme il est réservé aux hommes de mourir une seule fois, après quoi vient le jugement, de même Christ, qui S’est offert une seule fois pour porter les péchés de beaucoup, apparaîtra une seconde fois, non plus pour ôter le péché, mais pour sauver ceux qui L’attendent » (Hébreux 9:27-28). Christ revient ! Sommes-nous prêts ? Vivons-nous à la lumière de Son retour ? Ne prenons pas Son sacrifice à la légère. Vivons dans la gratitude, la sainteté et l’urgence, sachant que notre temps sur terre est court et que l’éternité est en jeu.

Marc 3:22-30 : Le péché impardonnable et la puissance du Saint-Esprit

Tournons-nous maintenant vers Marc 3, où nous rencontrons un enseignement frappant et sérieux de Jésus. Les chefs religieux, aveuglés par leur orgueil et leur jalousie, ont accusé Jésus de chasser les démons par le pouvoir de Béelzébul, le prince des démons. Mais Jésus répond avec clarté et autorité : « Comment Satan peut-il chasser Satan ? Si un royaume est divisé contre lui-même, ce royaume ne peut subsister » (Marc 3:23-24). Il révèle l’absurdité de leur accusation et les avertit de la gravité de leur péché.

Jésus parle ensuite du péché impardonnable, le blasphème contre le Saint-Esprit. Ce péché n’est pas un acte isolé de rébellion ou un moment de doute ; c’est un rejet persistant et endurci de la grâce de Dieu et de l’œuvre du Saint-Esprit. C’est un cœur si endurci qu’il refuse de reconnaître la vérité, même lorsqu’elle est évidente. Les chefs religieux assistaient à la puissance même de Dieu à l’œuvre en Jésus, mais ils l’ont attribuée à Satan. Voilà le danger d’un cœur endurci. C’est vraiment triste et grave. Et c’est pour cela que Jésus a dû leur révéler cette vérité claire et retentissante.

Mais ne nous attardons pas sur la crainte, bien-aimés. Au contraire, que ce passage nous inspire à examiner nos propres cœurs. Sommes-nous ouverts à l’œuvre du Saint-Esprit dans nos vies ? Sommes-nous sensibles à Sa voix, à Sa conviction, à Sa guidance ? Le même Esprit qui a habilité Jésus à chasser les démons vit en nous, nous permettant de vivre des vies victorieuses en Christ. Ne contristons pas le Saint-Esprit, mais soumettons-nous pleinement à Lui, permettant qu’Il nous transforme à l’image de Christ.

L’appel à répondre

Ces deux passages sont profondément liés. Hébreux nous rappelle la puissance du sacrifice de Christ et l’espérance de Son retour, tandis que Marc nous met au défi de garder nos cœurs et d’embrasser l’œuvre du Saint-Esprit. Ensemble, ils nous appellent à une vie de foi, de repentance et d’abandon.

Ne soyons pas comme les chefs religieux qui ont endurci leurs cœurs et rejeté la vérité. Au contraire, soyons comme ceux qui attendent avec empressement le retour de Christ, vivant dans la plénitude de Sa grâce et la puissance de Son Esprit. Rappelons-nous que nous avons été rachetés par le sang de l’Agneau, et que cette vérité allume un feu dans nos âmes pour vivre pour Lui.

Prière
Père céleste, nous Te remercions pour le don de Ton Fils, Jésus-Christ, dont le sang nous a rachetés et dont le sacrifice a ouvert le chemin à la vie éternelle. Nous Te remercions pour le Saint-Esprit, qui nous habilite à vivre comme Tes enfants. Adoucis nos cœurs, Seigneur, et rends-nous sensibles à Ta voix. Aide-nous à vivre à la lumière du retour de Christ, partageant Son amour et Sa vérité avec un monde dans un besoin désespéré. Que nos vies soient un témoignage vivant de Ta grâce et de Ta gloire. Au nom de Jésus, nous prions. Amen.

Allez, bien-aimé(e)s, inspiré(e)s et fortifié(e)s par la Parole de Dieu. Vivez avec audace pour Christ, et que Son amour brille à travers vous aujourd’hui et toujours. Amen !🙏🙏🙏

 








The Blood That Redeems and the Spirit That Transforms: A Call to Live in God’s Grace Hebrews 9:15-28 & Mark 3:22-30

Beloved brothers and sisters in Christ,

Today, we gather to reflect on two powerful passages of Scripture that reveal the depth of God’s love, the power of Christ’s sacrifice, and the urgency of our response to His grace. Let us open our hearts to the Word of God, for it is alive, active, and sharper than any two-edged sword (Hebrews 4:12). Let us be inspired, challenged, and transformed by the truth of these sacred texts.

Hebrews 9:15-28: The Eternal Covenant Sealed by Blood

In Hebrews 9, we are reminded of the supremacy of Christ’s sacrifice. The author tells us that Jesus is the mediator of a new covenant, a covenant not sealed by the blood of goats or calves, but by His own precious blood. Under the old covenant, sacrifices had to be repeated year after year, but Christ offered Himself once for all, a perfect, complete, and eternal sacrifice. His blood does not merely cover sin; it cleanses us, redeems us, and restores us to right relationship with God. Thanks to Christ, the broken relationship between humanity and God - due to the sins of Adam and Eve and their descendants -  is now fully restored.

Think about this, dear friends: Jesus did not enter a man-made sanctuary to offer His life. No, He entered the very presence of God in heaven, and there He intercedes for us. His sacrifice is so powerful, so sufficient, that it has opened the way for us to enter into the holy presence of God. What a Savior! What a Redeemer!

But the author of Hebrews also gives us a sobering reminder: “Just as people are destined to die once, and after that to face judgment, so Christ was sacrificed once to take away the sins of many; and He will appear a second time, not to bear sin, but to bring salvation to those who are waiting for Him” (Hebrews 9:27-28). Christ is coming again! Are we ready? Are we living in the light of His return? Let us not take His sacrifice for granted. Let us live lives of gratitude, holiness, and urgency, knowing that our time on earth is short and eternity is at stake.

Mark 3:22-30: The Unforgivable Sin and the Power of the Holy Spirit

Now, let us turn to Mark 3, where we encounter a striking and sobering teaching of Jesus. The religious leaders, blinded by their pride and jealousy, accused Jesus of casting out demons by the power of Beelzebul, the prince of demons. But Jesus responds with clarity and authority: “How can Satan drive out Satan? If a kingdom is divided against itself, that kingdom cannot stand” (Mark 3:23-24). He reveals the absurdity of their accusation and warns them of the gravity of their sin.

Jesus then speaks of the unforgivable sin, blasphemy against the Holy Spirit. This sin is not a single act of rebellion or a moment of doubt; it is a persistent, hardened rejection of God’s grace and the work of the Holy Spirit. It is a heart so calloused that it refuses to acknowledge the truth, even when it is staring them in the face. The religious leaders were witnessing the very power of God at work in Jesus, yet they attributed it to Satan. This is the danger of a hardened heart. This is really sad and serious. And for this Jesus had to reveal to them this clarion truth that rings loud and clear.

But let us not dwell on fear, beloved. Instead, let this passage inspire us to examine our own hearts. Are we open to the Holy Spirit’s work in our lives? Are we sensitive to His voice, His conviction, His guidance? The same Spirit who empowered Jesus to cast out demons is alive in us, enabling us to live victorious lives in Christ. Let us not grieve the Holy Spirit, but rather, let us yield to Him fully, allowing Him to transform us into the image of Christ.

The Call to Respond

These two passages are deeply connected. Hebrews reminds us of the power of Christ’s sacrifice and the hope of His return, while Mark challenges us to guard our hearts and embrace the work of the Holy Spirit. Together, they call us to a life of faith, repentance, and surrender.

Let us not be like the religious leaders who hardened their hearts and rejected the truth. Instead, let us be like those who eagerly await Christ’s return, living in the fullness of His grace and the power of His Spirit. Let us remember that we have been redeemed by the blood of the Lamb, and let that truth ignite a fire in our souls to live for Him.

Let us Prayer

Heavenly Father, we thank You for the gift of Your Son, Jesus Christ, whose blood has redeemed us and whose sacrifice has opened the way to eternal life. We thank You for the Holy Spirit, who empowers us to live as Your children. Soften our hearts, Lord, and make us sensitive to Your voice. Help us to live in the light of Christ’s return, sharing His love and truth with a world in desperate need. May our lives be a living testimony to Your grace and glory. In Jesus’ name, we pray. Amen.

Go forth, beloved, inspired and empowered by the Word of God. Live boldly for Christ, and may His love shine through you today and always. Amen!🙏🙏🙏

 


Sunday, January 26, 2025

La Parole de Dieu : Une Source d’Espérance en Temps Troublés (Néhémie 8, 2-10 et Luc 1, 1-21)

Chers frères et sœurs en Christ,

Aujourd'hui, nous célébrons le Dimanche de la Parole de Dieu, une fête instaurée par le pape François à travers la Lettre apostolique Aperuit Illis, publiée le 30 septembre 2019, en la fête de saint Jérôme, celui qui nous a offert la Bible en latin, la Vulgate. Vous pourriez vous demander : pourquoi consacrer un dimanche particulier à la Parole de Dieu, alors que les Écritures sont proclamées à chaque messe, semaine après semaine ? Le pape François a désigné le troisième dimanche du Temps Ordinaire comme une journée spéciale pour célébrer, méditer et promouvoir la place de la Parole de Dieu dans la vie de l'Église.

Cette invitation prend un relief particulier alors que nous vivons dans un monde marqué par des défis et des incertitudes profondes : maladies, perte de proches, chômage, catastrophes naturelles, guerres, ruptures familiales… Ces réalités ne sont pas de simples gros titres lointains, mais des expériences qui touchent nos vies. Face à ces épreuves, beaucoup se demandent : Où trouver l’espérance ? Comment comprendre les tempêtes de la vie ?

La réponse se trouve dans la Parole même que nous célébrons aujourd'hui. Les lectures de Néhémie et de Luc nous invitent à redécouvrir la Parole de Dieu comme une source d’espérance inébranlable. Il ne s’agit pas d’un optimisme superficiel, mais d’une confiance profonde dans les promesses de Dieu, capables d’éclairer même les nuits les plus sombres. Tout comme les Israélites du temps de Néhémie ont trouvé la force en écoutant et en se réjouissant de la Parole, et comme Luc nous rappelle l’accomplissement des promesses divines en Jésus, nous sommes également appelés à ancrer nos vies dans cette espérance qui ne déçoit jamais.

La Parole de Dieu parle à notre fragilité (Néhémie 8, 2-10)

Le peuple du temps de Néhémie connaissait bien les épreuves : exil, séparation de leur terre, perte de leur identité en tant que peuple de Dieu. À leur retour à Jérusalem, ils trouvèrent une ville en ruines et une mission écrasante devant eux.

Cependant, au milieu de ce chaos, la Parole de Dieu fut proclamée, et un événement remarquable se produisit. Le peuple pleurait, non seulement à cause de ses péchés, mais aussi parce qu’il réalisait profondément que Dieu ne l’avait pas abandonné. Esdras leur rappela : « Ne soyez pas dans la tristesse, car la joie du Seigneur est votre rempart. »

Pour nous aujourd’hui, cette même Parole parle à notre fragilité. Elle nous rappelle que, peu importe à quel point nos vies semblent brisées, les promesses de Dieu demeurent. Quand nous nous sentons abandonnés, sa Parole nous assure : « Je ne te délaisserai pas, je ne t’abandonnerai pas » (Hébreux 13, 5). Quand nous nous sentons vaincus, elle déclare : « Dans tout cela, nous sommes plus que vainqueurs par celui qui nous a aimés » (Romains 8, 37).

La Parole de Dieu apporte une Bonne Nouvelle en Jésus-Christ (Luc 4, 14-21)

Dans l’Évangile de Luc, Jésus se tient dans la synagogue et lit le passage d’Isaïe : « L’Esprit du Seigneur est sur moi, car il m’a consacré par l’onction pour annoncer la Bonne Nouvelle aux pauvres, la libération aux captifs, la vue aux aveugles, la liberté aux opprimés. » Puis il déclare : « Aujourd’hui, cette Écriture s’accomplit pour vous qui l’entendez. »

Ces paroles de Jésus ne sont pas seulement une promesse, mais une affirmation que le Royaume de Dieu est déjà à l’œuvre dans notre monde. Par Lui, les malades trouvent la guérison, les affligés trouvent la consolation, et les désespérés retrouvent un sens à leur vie.

Ce message est plus pertinent que jamais. Dans un monde où la maladie semble implacable, Jésus est le Guérisseur. À ceux qui pleurent des êtres chers, Il dit : « Heureux ceux qui pleurent, car ils seront consolés » (Matthieu 5, 4). À ceux qui luttent avec l’instabilité financière, Il rappelle : « Ne vous inquiétez pas pour demain... Cherchez d’abord le Royaume de Dieu et sa justice, et tout cela vous sera donné en plus » (Matthieu 6, 33-34).

La Parole de Dieu nous appelle à porter l’espérance

Frères et sœurs, la Parole de Dieu n’est pas seulement un réconfort, c’est aussi un appel à l’action. Nous ne sommes pas seulement les bénéficiaires de l’espérance de Dieu, mais aussi ses porteurs dans un monde avide de bonnes nouvelles.

Face aux défis autour de nous – conflits, catastrophes, solitude, troubles mentaux – nous sommes appelés à incarner l’espérance du Christ. Comment ? En étant des artisans de paix dans nos communautés, en tendant la main à ceux qui sont dans le besoin, en partageant la Parole de Dieu avec ceux qui se sentent oubliés. Comme Jésus, nous sommes envoyés pour annoncer la Bonne Nouvelle aux pauvres, libérer les captifs et guérir les cœurs brisés.

Une espérance qui transforme

Chers amis, la Parole de Dieu est bien plus qu’un recueil d’histoires ou de lois anciennes. Elle est vivante, agissante, capable de transformer nos vies et notre monde. Quand la vie devient accablante, tournons-nous vers cette Parole comme source d’espérance.

Et aujourd’hui, alors que nous écoutons cette Parole, laissons-la pénétrer profondément nos cœurs, afin que, comme le peuple du temps de Néhémie, nous nous levions avec une force renouvelée. Écoutons la voix de Jésus déclarer : « Aujourd’hui, cette Écriture s’accomplit pour vous. »

Que la Parole de Dieu nous donne le courage de relever les défis de notre temps, d’embrasser l’espérance offerte par le Christ et de partager cette espérance avec un monde qui en a tant besoin.

Amen.🙏🙏🙏

 


The Word of God: A Source of Hope in Troubled Times (Nehemiah 8:2-10 and Luke 1:1-21).

Dear brothers and sisters in Christ, today is called The Sunday of the Word of God, a celebration initiated by Pope Francis through the Apostolic Letter Aperuit Illis, issued on September 30, 2019, on the feast of St. Jerome, who gave us the gift of the Bible in Latin, the Vulgate. You might wonder, why dedicate a special Sunday to the Word of God when Scripture is proclaimed at every Mass, week after week? Pope Francis designated the Third Sunday in Ordinary Time as a special day to celebrate, reflect on, and promote the Word of God in the life of the Church.

This reminder feels especially timely as we live in  a world marked by profound challenges and uncertainties. Sickness, the loss of loved ones, unemployment, natural disasters, wars, and broken relationships, etc.; all these are not just distant headlines but experiences that touch our own lives. In the face of such struggles, many are left questioning: Where can we find hope? How do we make sense of life’s storms?

The answer lies in the very Word we celebrate today. Both the readings from Nehemiah and Luke invite us to rediscover the Word of God as a source of unshakable hope. It is not a superficial optimism but a deep trust in God’s promises, which have the power to pierce through even the darkest nights. Just as the Israelites in Nehemiah’s time found strength in hearing and rejoicing in the Word, and as Luke reassures us of the fulfillment of God’s promises in Jesus, we too are called to anchor our lives in this hope that never fails.

The Word of God Speaks to Our Brokenness (Nehemiah 8:2-10)

The people in Nehemiah’s time were no strangers to hardship. They had endured exile, separation from their homeland, and the disintegration of their identity as God’s people. When they returned to Jerusalem, they found a city in ruins and a daunting task ahead of them.

Yet, in the midst of this chaos, God’s Word was proclaimed, and something remarkable happened. The people wept, not just out of sorrow for their sins but out of a deep realization that God had not abandoned them. Ezra reminded them: “Do not grieve, for the joy of the Lord is your strength.”

For us today, this same Word speaks to our brokenness. It reminds us that no matter how shattered our lives may feel, God’s promises remain. When we feel abandoned, His Word assures us: “I will never leave you nor forsake you” (Hebrews 13:5). When we feel defeated, His Word declares: “In all these things, we are more than conquerors through Him who loved us” (Romans 8:37).

The Word of God Brings Good News in Jesus Christ (Luke 4:14-21)

In Luke’s Gospel, Jesus stands in the synagogue and reads from Isaiah: “The Spirit of the Lord is upon me, because He has anointed me to proclaim good news to the poor, liberty to captives, recovery of sight to the blind, freedom for the oppressed.” Then He announces: “Today this Scripture is fulfilled in your hearing.”

Jesus’ words are not just a promise, they are a declaration that God’s kingdom has broken into our world. Through Him, the sick find healing, the mourning find comfort, and the hopeless find purpose.

This message is more relevant than ever. In a world where sickness seems relentless, Jesus is the Healer. To those who have lost loved ones, He says: “Blessed are those who mourn, for they will be comforted” (Matthew 5:4). To those struggling with unemployment or financial instability, He reminds us: “Do not worry about tomorrow… Seek first His kingdom and His righteousness, and all these things will be given to you as well” (Matthew 6:33-34).

The Word of God Calls Us to Be Bearers of Hope

Brothers and sisters, the Word of God is not just a comfort, it is a call to action. We are not only recipients of God’s hope but also its bearers in a world desperate for good news.

Think about the challenges around us: conflicts that divide families and nations, natural disasters that devastate entire communities, loneliness and mental health struggles that plague so many. In the face of these, we are called to embody the hope of Christ.

How? By being instruments of peace in our communities. By reaching out to those in need with practical acts of love. By sharing the Word of God with those who feel forgotten. Like Jesus, we are anointed to proclaim good news to the poor, freedom to the captives, and healing to the brokenhearted.

Hope That Transforms

Dear friends, the Word of God is more than a collection of stories or ancient laws, it is living and active, capable of transforming our lives and our world. When life feels overwhelming, let us turn to this Word as our source of hope.

And as we hear God’s Word today, let us allow it to sink deeply into our hearts, so that like the people in Nehemiah’s time, we may rise with renewed strength. Let us hear the voice of Jesus declaring, “Today this Scripture is fulfilled in your hearing.”

May the Word of God empower us to face the challenges of our time with courage, to embrace the hope that Christ offers, and to share that hope with a world that so desperately needs it.

Amen.🙏🙏🙏

 


Sunday, January 19, 2025

Faites tout ce qu'Il vous dira : Invitons Jésus et Marie dans nos vies (Jean 2, 1-11)

Chers frères et sœurs en Christ,

L'Évangile d’aujourd’hui nous emmène à un événement joyeux : un mariage à Cana. Ce récit, riche en signification, révèle avec beauté l’amour et l’attention de Dieu envers nous. Dans cette histoire, trois figures clés retiennent notre attention : Marie, la Mère de Jésus, Jésus lui-même, et ses disciples. Chacun d’eux nous enseigne quelque chose de profond sur notre cheminement chrétien.

Inviter Jésus et Marie dans nos vies et nos foyers

L’Évangile commence par un détail apparemment simple : « Jésus et ses disciples furent aussi invités au mariage » et Marie, la Mère de Jésus, était présente. Ce détail est en réalité très significatif. Il nous rappelle l’importance d’inviter Jésus et Marie dans les moments de joie comme dans les épreuves de nos vies.

Mais comment pouvons-nous concrètement faire cela en tant que chrétiens ?

Par la prière : Passer du temps régulièrement dans la prière, seul ou en famille, ouvre la porte à Jésus et Marie dans nos vies. Réciter le Rosaire en famille est une manière magnifique d’accueillir Marie dans nos foyers, car elle nous conduit toujours vers son Fils. En invitant Marie, nous bénéficions de sa tendre sollicitude maternelle et de son intercession auprès de son Fils.

Par la lecture des Écritures : Méditer la Parole de Dieu invite Jésus dans nos cœurs et nos esprits, nous guidant et nous transformant.

Par la vie sacramentelle : La participation régulière à l’Eucharistie et au sacrement de la Réconciliation permet à Jésus de demeurer pleinement en nous et de renouveler nos vies par sa grâce.

Par l’amour et le pardon : En imitant l’amour désintéressé de Jésus et en offrant le pardon au sein de nos familles, nous créons un espace où Jésus et Marie peuvent résider.

Par des symboles sacrés dans nos foyers : Un crucifix bénit, une image de Jésus ou de Marie, ou un petit autel familial rappellent leur présence et nous incitent à vivre notre foi chaque jour. Ceux qui ont un « autel familial » comprendront bien ce que cela signifie.

En accueillant Jésus et Marie dans nos vies de manière tangible, nous leur permettons de nous guider, de nous protéger et de nous transformer, remplissant nos vies de paix, de joie et de grâce. Imaginez combien nos foyers et nos communautés pourraient être transformés si nous les accueillions chaque jour !

Le cœur attentif de Marie

Au cours de la fête, Marie remarque ce que d’autres n’ont peut-être pas vu : il n’y a plus de vin. Dans la Bible, le vin symbolise souvent la joie, l’abondance et les bénédictions divines. Son absence pourrait refléter le vide, les difficultés ou les épreuves que nous rencontrons parfois dans nos vies personnelles, familiales ou spirituelles.

L’attention de Marie à ce manque souligne son rôle de mère aimante et attentive, toujours consciente de nos besoins.

Combien de fois avons-nous l’impression que le « vin » de notre joie, de notre espérance ou de notre foi s’est épuisé ? Marie nous apprend à ne pas désespérer, mais à nous tourner vers Jésus, la véritable source d’abondance.

La réponse immédiate de Marie

Marie agit sans tarder. Elle se tourne vers Jésus et lui dit : « Ils n’ont plus de vin. » Quelle prière simple et pleine de foi ! Elle ne donne pas d’ordre, mais présente le besoin avec confiance.

Face aux épreuves, avons-nous la même confiance en portant nos soucis à Jésus ?

Même lorsque Jésus répond par une question énigmatique : « Femme, que me veux-tu ? Mon heure n’est pas encore venue », la foi de Marie reste inébranlable. Connaissant le cœur de son Fils, elle dit aux serviteurs : « Faites tout ce qu’il vous dira. »

« Faites tout ce qu’Il vous dira »

Ces paroles sont la clé pour ouvrir la porte aux miracles dans nos vies. L’obéissance à la parole de Jésus transforme les situations de manque en moments d’abondance.

Imaginez la confusion des serviteurs lorsque Jésus leur demande de remplir six grandes jarres de pierre avec de l’eau. Pourtant, leur obéissance permet à Jésus de réaliser son premier miracle public.

Cela nous enseigne que Dieu demande souvent notre confiance et notre obéissance, même si ses instructions nous semblent inhabituelles ou incompréhensibles. En suivant sa parole, nous lui permettons d’accomplir des merveilles dans nos vies.

Les six jarres de pierre : signes de transformation

L’Évangile mentionne six jarres de pierre, utilisées pour les rites de purification. Remplies d’eau ordinaire, elles deviennent des récipients d’un vin extraordinaire.

Cette transformation nous rappelle que Dieu peut prendre les aspects ordinaires de nos vies,  nos luttes, nos efforts, nos faiblesses, et les transformer en quelque chose d’extraordinaire lorsque nous les lui offrons. Le fait que ce premier miracle ait lieu lors d’un banquet, et non dans un temple, souligne que la grâce de Dieu se manifeste aussi dans la vie quotidienne.

L’abondance de vin, environ 450 à 680 litres, symbolise les bénédictions débordantes de Dieu, bien au-delà de ce que nous pouvons imaginer ou espérer.

Un appel à la confiance et à la transformation

Frères et sœurs, les Noces de Cana ne sont pas qu’un récit de miracle. Elles sont une invitation à approfondir notre foi et notre confiance en Dieu. Elles nous appellent à :

Inviter Jésus et Marie dans tous les aspects de notre vie.

Faire confiance à l’intercession et à la guidance de Marie, surtout dans les moments de besoin. Jésus ne peut rien refuser à sa mère.

Obéir à la parole de Jésus, même lorsque cela nous défie ou semble illogique.

Croire en la puissance de Dieu pour transformer nos vides en plénitude, nos épreuves en joie, et nos vies ordinaires en réceptacles de sa grâce.

En méditant sur cet Évangile, prions avec la foi de Marie, en présentant nos besoins à Jésus et en croyant en son pouvoir d’agir. Entendons aussi ses paroles résonner dans nos cœurs : « Faites tout ce qu’il vous dira. » Ainsi, nous ouvrons nos vies à la grâce transformatrice de Dieu, qui désire nous combler de son amour, de sa joie et de ses bénédictions.

Amen.🙏🙏🙏

 


« Moi non plus, je ne te condamne pas – Va, et ne pèche plus » (Jean 8,1–11)

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